Il s’agit d’une forme de vente immobilière qui permet à une personne âgée de vendre sa maison en contrepartie d’une rente à vie que lui versera l’acheteur. Ce dernier prend possession du bien après le décès du crédirentier (le vendeur). Il existe plusieurs types de vente en viager. Si dans la majorité de cas le crédirentier conserve l’usage du bien jusqu’à sa mort, il est aussi possible que le débirentier (l’acheteur) puisse prendre possession du bien et en jouir immédiatement ; il s’agit de la vente en viager libre. Si vous êtes intéressé par ce type de transaction immobilière, vous pouvez bénéficier de l’expertise et l’accompagnement de professionnels dans votre région ou sur des sites spécialisés comme www.immolabel.be, qui vous offre des renseignements utiles sur le droit, l’achat et la vente immobilière.
Quel intérêt d’opter pour ce type de transaction ?
Pour le vendeur, s’assurer un revenu régulier jusqu’à la fin de ses jours en conservant la propriété de son bien, lui permettant de profiter de ce « capital » qu’il détient. Cette formule qui est adaptée pour les personnes qui n’ont pas d’héritiers, est aussi intéressante pour les autres dans la mesure où ils peuvent obtenir un « bouquet » (un montant fixe que verse l’acheteur au moment de la vente) qu’il donnera à ses héritiers qui en profitent immédiatement et la rente lui procure un revenu permettant d’échapper à la dépendance.
Pour l’acheteur, cette formule lui permet d’échelonner la dépense d’acquisition d’un bien immobilier. Vu qu’il est en général de plus de 20 ans le cadet du vendeur il fait en quelque sorte un pari sur la longévité de ce dernier. Ce qui ne se passe pas toujours comme dans le cas d’André-François Raffay (47ans), acheteur du bien de Jeanne Calment (90) mais qui est décédé à 77 ans, soit 2 ans avant cette dernière .
